Nos Soins

Les hyperkeratoses seront abrasés à l’aide d’un bistouri et d’une meule électrique.

Pour les cors, en plus d’enlever la couche cornée, il est indispensable d’aller chercher le cor et de l’extraire entièrement en allant chercher le plan de clivage à la limite du tissu sain.

En fin de traitement, un padding en feutre sera appliqué afin de soulager le patient les premiers jours.

Le limage à la meule électrique va permettre d’éliminer la kératine infectée et mettre la traitement local au plus proche de l’infection.

Cette opération doit être, au besoin, répétée au bout d’un mois.

L’onychogryphose est une hypertrophie et une incurvation de la plaque unguéale, la pression engendrée dans la chaussure, génère le chaussage.

Le traitement consistera, ici aussi, à amincir l’ongle. Une fois réduit, il cessera d’être gênant étant donné qu’il n’entrainera pas de pression dans la chaussure.

L’onychogryphose peut-être engendrée par une déformation de l’hallux comme dans le cas d’un hallux erectus.

Cette déformation se caractérise par une dorsiflexion au niveau de l’articulation interphalangienne entraînant avec elle l’ongle vers le haut et le traumatisant contre la partie supérieure de la chaussure.

Une onychoplastie (ou ongle en résine moulée/modelée) pourra être réalisée pour guider la repousse de l’ongle ou pour des raisons cosmétiques.

L’ongle sera, si nécessaire, aminci dans un premier temps afin de faciliter le soulèvement des bords. Le traitement podologique débute par un dégagement des sillons péri-unguéaux.

Parfois, le gros orteil, s’appuyant trop fort contre le deuxième orteil, en reçoit une pression de bas en haut. Elle produira un épaississement du bourrelet interne où l’on tendra à pénétrer.

L’orthonyxie est une technique qui consiste à corriger la courbure de la plaque unguéale. Cette orthèse est principalement réalisée lorsque la forme de l’ongle entraîne des conflits entre la plaque unguéale et les tissus qui l’entoure.

Les indications sont multiples :

• En effet, dans le cadre d’hypercourbures unguéales qui peuvent entraîner des hyperkératoses dans les sillons ou dans le cas d’onychocryptose, on tentera à l’aide de l’orthonyxie de redresser l’ongle de la même manière que l’orthodontie avec les dents.
• Elle sera, en revanche, contre-indiquée lors d’infection sous ou péri-unguéale, plaie ou lors d’une fragilité de l’ongle consécutive à une mycose ou à un trouble trophique.

Une orthoplastie ou orthèse d’orteils est un appareil ou aide technique en silicone destinée à traiter une déformation d’orteils ainsi que ses conséquences, voire remplacer l’espace laissé libre par un ou plusieurs orteils manquants.

Pour qu’une orthèse soit bien tolérée et s’avère efficace, elle sera réalisée à la suite d’un examen clinique approfondi ainsi que d’une étude des chaussures.

L’orthoplastie est directement moulée sur le pied.

L’orthoplastie ne constitue pas un soutien. Bien au contraire, il s’agit d’une orthèse qui tolère une mobilité normale au niveau des orteils et empêche une mobilité excessive et empêche une mauvaise direction de cette mobilité durant la phase de propulsion au cours de la marche.

Il existe des orthoplasties de deux types, protectrices et correctrices :

Les orthoplasties protectrices sont indiquées dans le traitement de déformations irréductibles et des conséquences de celles-ci (griffes d’orteils, cors pulpaires ou dorsaux, hallux valgus, infra ou supradductus, …).

Elles viseront principalement à soulager la douleur et à réduire les zones d’hyperpression.

Les orthoplasties correctrices seront, quant à elles, indiquées dans le traitement des déformations d’orteils réductibles.

En plus de décharger les zones de pression comme les protectrices, elles repositionneront le ou les orteils dans une position normale.

Après un examen biomécanique et une analyse de marche, le Podologue a recours à la fabrication de semelles dans le but de corriger des déformations ou un mauvais déroulement du pas .

La semelle fabriquée par le podologue n’est pas un support, ni un soutien plantaire.

Au contraire, c’est une orthèse fonctionnelle qui est fabriquée après moulage, pris avec l’articulation

sous-astragalienne en position neutre et corrigée sur base de mesures d’un examen biomécanique et d’une analyse de marche.

Tout en permettant une mobilité normale du pied, la semelle évite :

1. Une mobilité excessive du pied
2. Une mauvaise direction de cette mobilité durant la phase d’appui

Grâce aux études biomécaniques du membre inférieur, nous savons que la semelle podologique doit :

1. Permettre une pronation normale au contact talon, une supination durant les périodes d’appui et de propulsion, ceci créant une rotation normale de la jambe.
2. Placer le pied dans une position telle qu’il crée lui-même sa stabilité durant la dernière moitié de la phase d’appui. Un pied stable durant la propulsion élimine les forces qui traumatisent et déforment l’avant-pied.
3. Maintenir le pied le plus près possible de sa position neutre en station debout, même en présence de déformations structurelles du pied et de la jambe.

Malgré que le port de bonnes chaussures constitue la première exigence pour une marche normale, les gens ont tendance à se tourner vers de moins bonnes chaussures, surtout en raison de la mode ou de leur travail.

De même, les chaussures adaptées ou possédant une certaine correction, ne sont, la plupart du temps pas faites pour traiter un problème spécifique. Ceci n’est pas possible si l’on sait que chaque pied est unique.

La qualité des chaussures ira de pair avec l’efficacité des orthèses et/ou des orthoplasties.

Une bonne chaussure possédera un maintien solide avec un contrefort rigide. Une hauteur des talons trop hautes ou trop basses sera évitée et un espace suffisant au niveau de l’avant-pied s’avèreront indispensables.

Lors d’accidents, violences physiques ou sexuelles, il arrive que notre corps développe des troubles post-traumatiques (comportement particulier, douleurs, ). L’objectif est qu’en travaillant ensemble, vous arriviez à les maîtriser voire à supprimer les manifestations psycho-corporelles de ce choc.

Quand on subit des pressions lors de notre quotidien ou lorsque la cadence dépasse nos ressources, il est important de mettre en place un mécanisme de prévention, d’alerte et de réaction appropriée.

Si nous avons la confirmation qu’il n’y a pas de blessures physiques et que la personne ressent tout de même un inconfort, voire des douleurs, cela signifie bien souvent qu’une limite mentale et/ou physique est atteinte. Il est temps d’agir pour pouvoir vous soulager voire faire disparaître cet inconfort. 

S’il est normal d’être inquiet avant une opération ou de la guérison qui suivra, il est normal de s’y préparer par la gestion du stress et de la douleur.

Dans notre vie quotidienne, nous sommes éduqués à faire et non à être. Cette situation nous met en porte-à-faux entre notre devoir et nos envies ce qui crée bien souvent des tensions et du stress. Afin d’y remédier, nous pouvons apprendre à appréhender ces sensations afin de mieux vivre avec les autres et avec nous-mêmes et ce quel que soit l’environnement.

La plupart du temps, une personne commence à fumer lors de son adolescence, peu consciente de la dépendance qui se crée insidieusement entre la cigarette et le fumeur. Le tabac a de nombreuses conséquences négatives sur le physique et le psychique, mais reste une habitude difficile à perdre, car elle est souvent liée à des liens sociaux et émotionnels. Afin d’arrêter de fumer, il faut pouvoir se libérer de ces liens.

Ce soin concerne tout particulièrement les enfants et les adolescents. Grâce à l’hypnose, il est possible d’augmenter sa confiance en soi afin de s’épanouir pleinement.